« “Les nuages... Les nuages qui passent... Là-bas... Là-bas... Les merveilleux nuages !”
Abstract
Cet article établit que le nuage est constitutif d’une poétique
baudelairienne. En effet, dans le Spleen de Paris, le nuage s’associe à la rêverie.
Il relève de l’indéfini, et suggère un je ne sais quoi. Le poème en prose peut se
penser comme un nuage, à la fois insignifiant et menaçant.